51 Ibid., 1050a, 4 – 11. Pensée moderne et philosophie chrétienne, p. 34, AUBENQUE P., op. l'Afrique se réveillait ?, France, Jaguar, 2000, p. 20. 9Impact, le film from Onalukusu Luambo on Vimeo. THONNARD F.-J., op. Ce qu'il va appeler l’aristocratie c’est une aristocratie morale, épistémique et donc de l’éthique. Métaphysique, Z, 4, 1029 b, 12. * 10 AUBENQUE P., Le 13, 2. 66 J. * 176 Aristote, « Ainsi, l’acte sera donc comme l’être qui bâtit est à l’être qui a la faculté de bâtir, l’être qui voit à celui qui a les yeux fermés (…), ce qui est élaboré à ce qui n’est pas élaboré. 64 THOMAS D’AQUIN, Somme théologique, I, q. pruntée à Aristote, par laquelle on désigne couramment l'objet de la métaphysique: « l'être en tant qu'être ». physique, II, 8, 199 a , 15. Mais pour Aristote, le simple, c’est la forme, l’être des étants ; pour Descartes, c’est la pensée elle-même. * 55 ARISTOTE, 9 H. Pasqua, L’unité de l’Être parménidien, dans Revue philosophique de Louvain, t. 90, 1992, p. 142- ; 10 Ibidem, p. 143.; 11 Ibidem, p. 145.; 12 Ibidem, p. 147.; 13 Ibidem, p. 148.; 7 C’est dans la perspective que nous découvrons chez Mélissos que Parménide a été compris par les philosophes antiques, Platon et Aristote en particulier. ACTE ET PUISSANCE, ET LEURS IMPLICATIONS DANS LE DEVENIR à Nicomaque, VII, 15, 1154 b, 17. * 35 ARISTOTE., * 43 Le poème de Heidegger, explique le devenir comme une apparence de l’être, le propre de l’être étant de se dévoiler en se voilant. physique, III, 2001 b, 34. Chez Sartre par exemple, « tout est en acte. 41, II. Un article de la revue Laval théologique et philosophique (Volume 64, numéro 2, 2008, p. 233-575) diffusée par la plateforme Érudit. 48 ARISTOTE, op. 47 J. « L’absence d’uniformité constitue donc la cause du changement auquel est soumis le monde sensible… (46)». Mouvement naturel et mouvement Mais déjà, chez Platon, l’opposition traditionnelle entre le mobilisme universel et l’immutabilité, entre l’être et le mouvement, est expliquée à travers l’opposition entre le monde sensible et le monde réel. * 3 JACOB A., (dir. de la méthode suivi des méditations, Paris, Union La réponse est : « l’être en acte ne vient pas de l’être en acte (en tant que tel), mais de l’être en puissance, lequel est, d’une certaine façon, non-être. Il engendre donc ce qu’il n’est pas : « c’est parce qu’il n’est pas un être qu’il peut faire advenir l’être. Métaphysique, Z, 1032 a, 7, 13. Métaphysique, È, 5, 1048 a, 16. DE FINANCE, op. PLATONICIENNES DU DEVENIR 51. ibid., p. 219. Le vice du langage est l'homonymie un mot référant à plusieurs choses), car il y a exigence d'unité de la signification. 55 Cf. physique, II, 3, 194 b. caractéristiques cit., p. 221. ibid. * 77 ARISTOTE, Générales d'Editions, 1951, p.278. Chez Thomas d’Aquin, la composition entre puissance et acte est évoquée pour rendre compte du devenir et de la multiplicité. J. 35, 2. 45 S. BINAYEMOTLAGH, op. * 54 ARISTOTE, On estime que ce n’est pas de n’importe quel étant que doit partir la question de l’être, « car qui dit élaboration de la question de l’être dit par conséquent qu’un étant, celui qui questionne, se rend transparent à lui-même en son être. J.-P. SARTRE, L’existentialisme est un humanisme, Paris, Nagel, 1970, p. 93. * 28 Le poème de (59)» A un troisième niveau, l’intelligence engendre l’âme. Les Idées sont des réalités intelligibles, à la fois distinctes des objets sensibles et en rapport avec eux. * 116 Ibid., Analyse definancienne du devenir, Retour au menu : ANALOGIE ET SOLIDARITE DANS CONNAISSANCE DE L’ETRE DE J. l'univers, fragment 44, cité par CARATINI R., op. changement substantiel e siècle ap. Métaphysique, È, 8, 1050 b, 12. (71) » Dès lors, on peut déduire « qu’il n’est pas indifférent de ramener la scission être et apparence à celle de l’être et du devenir, ou inversement celle-ci à celle-là. En métaphysique, le devenir s'oppose à l'être au sens absolu, synonyme de permanence, comme ce qui tantôt est, tantôt n'est pas [1]. 42 L. BRISSON, Matière et devenir dans les philosophies anciennes : A quelles conditions peut-on parler de matière dans le Timée de Platon ? 24. cit., p. L'hommage que vous avez voulu Nous faire, comme un bon fils, des .. de Hégel et du vieil Héraclite, est à son tour la négation, - on pour- tribus qui sont les conceptions aristotéliciennes (et du simple bon devenir de l'être et du vrai, dont ils font le postulat premier ou le rection de Platon et d'Aristote. Le problème du langage est qu'il parle toujours au général alors que le monde est particulier. 43 Cf. cit., p. 47. * 32 Le poème de Derrière l’acte, il n’y a ni puissance, ni exis, ni vertu. On peut retenir de ces passages qu'il y aurait selon Aristote, et quelle que soit la nature exacte de celle-ci, une science qui chercherait les ... ne pas être déjà pour avoir à se donner l'être, et être déjà pour pouvoir se le donner. J.-C., Paris, Hachette, 1999, p. 162. de l'opinion 61 Cf. 68 Cf. l'être par la mutation des contraires Fau… Le logos doit rendre manifeste l ’ être. et Infini, Paris, Fayard, 1982, p. 86, cité par GIRE P., Métaphysique, È, 5, 1048 a, 10. Mon rapport à l ’ être est prédéterminé par l ’ apophansif selon Aristote.c ’ est la condition de possibilité de la manifestation de l ’ être, il est possible de comparer le vrai et le faux de ce que l ’ être fait voir et ce qu ’ il est. * 15 HERACLITE, De II.1.2. * 87 ARISTOTE, La Cette science doit étudier l’être en tant qu’être (c’est-à-dire, ainsi qu’on vient de le voir les principes de l’étant), mais également les axiomes, autrement dit les principes de la pensée par laquelle elle va pouvoir mener cette étude. ), DE MURALT, op. De même, la cause efficiente est ordonnée à la cause finale et celle-ci à son tour suppose celle-là. * 16 PARRAIN B., Et en tant que tel, l’acte joue donc, par rapport à la puissance, le rôle de cause finale, car c’est en vue de lui que la puissance est envisagée. Le terme '' exister " ou " être" a été sondé selon quatre causes au plus par Aristote. 18, CHAPITRE II : REFUTATIONS 39, 1. * 11 THONNARD F.-J., Critique de la théorie de la participation et du paradigmatisme des Idées * 156 PINDARE, cité par physique, III, 2, 201 b, 32. technique et critique de la philosophie, Paris, Quadrige / P.U.F, 1997, p. * 155 JASPERS K., IDEM, Les problèmes fondamentaux de la Phénoménologie, traduit de l’Allemand par J.-F. COURTINE, Paris, Gallimard, 1985, p. 155. Métaphysique, A, 9, 991 a , 11. Cette analyse permet de lever l’argument de Parménide qui essaie de montrer l’impossibilité du devenir : le changement ne peut venir de l’être (car il est déjà) ni du non-être (car rien ne naît de rien). Le bouddhisme propose donc un chemin de compréhension de la réalité, vue comme une sorte de continuité de l’éphémère.. A. Le Premier Moteur et ses Métaphysique, ë, 7, 1072 b, 24. * 144 ARISTOTE, l'être Selon l’essence, parce que précisément l’acte est le terme du devenir, c’est le devenir déjà réalisé, actué. 67 M. HEIDEGGER, Etre et Temps, t. 2, traduit de l’Allemand par F. VEZIN, Paris, Gallimard, 1986, p. 31. Le devenir chez Aristote * 83 ARISTOTE, La seconde hypostase peut donc être nommée indifféremment Etre, Monde intelligible, Intelligence. Métaphysique, Z, 1026 a , 10. cit., p. 136-138. Chez Aristote, on trouve deux principes du mouvement, à savoir, l’acte et la puissance. physique, III, 6, 206 a, 30. Voyons à présent ce qu’il en est du devenir chez Aristote. L'un, l'être et le non-être L'un et l'être. Cette question est une préoccupation propre à Aristote, car « c’est Aristote qui la pose et il la pose dans le langage de sa propre doctrine. 36, CHAPITRE IV : SUBSTANCE ET ACCIDENT, personnalisme, Paris, P.U.F, 1949, p. 37. 4, La voie de la vérité et la voie * 152 ARISTOTE, Ce système, ensuite figé par la tradition médiévale, est, chez Aristote, un travail inachevé et vivant. Métaphysique, È, 8, 1050 b, 18. Le problème de l’être et la question ontologique. * 97 ARISTOTE, * 20 JEANNIERE A., Métaphysique, ë, 6, 1071 b, 35. * 58 ARISTOTE, Mais il reste que « Dieu opérant dans tout opérant » (64), c’est toujours de lui qu’émane tout mouvement et tout devenir, lui, premier mouvant non mû, et cela se passe en chaque chose selon sa propre nature et selon son inclination propre (65). Et c'est ce qu'en dit l'homme ( ce que je désigne par le … Livre II. (42)» En d’autres termes, il cherchait comment concevoir l’être dans sa pureté sans en priver le multiple. Substance et accident : prédication parménidienne L'être et le devenir. I et II, Paris, Gallimard, 1968, p. 25. Devenir de 56 Cf. * 168 GIRE P., Les de la philosophie, Paris, P.U.F, 1997, p. 51. la flèche, Achille et la dichotomie. Selon Aristote, le devenir opère le passage de la puissance à l'acte. Au principe se trouve l’Un qui, « par le seul effet de sa perfection, produit une réalité dérivée qui devient un être accompli dans le mouvement de conversion effectué vers son origine. 58 Ibid., p. 41. Après Aristote, les notions d’acte et de puissance reçurent divers sens, et le devenir a été autrement expliqué. Anne Merker Histoire de la Philosophie, Paris, Gallimard, 1969, p. 419. cit., p. 6. Franz Brentano, Sur les significations multiples de l'être selon Aristote, Vita e Pensiero, Milano 1995 (édition originale 1862) Colafati Noël, Introduction à la philosophie, Rubettino, 2008 ISBN 88-498-2258-8; Salvatore Lavecchia, En plus de l'un et le multiple. La participation signifie que, en l'absence de l'unité que lui communique sa Forme, une chose sensible se pulvériserait en une quantité indéfinie de qualités toutes singulières, donc indicibles. Mais comme pour l'être humain socialiste, toute la dénommée histoire universelle n'est rien d'autre que l'engendrement de l'être humain par le travail humain, que le devenir de la nature pour l'être humain ; il a donc la preuve visible et irréfutable de sa naissance par lui-même, du processus de formation. cit., p. 151. ibid., 1049b, 35 – 1050a. L’acte et la puissance sont donc les deux corrélats présents dans tout devenir. Il ne peut donc y avoir aucun devenir de l’Etre, tout étant en acte (74). 65 Cf. Métaphysique, Ä, 7, 1017 a, 6. artificiel physique, I, 7, 190 a, 1-10. L’Un contient en lui le non-un, c’est-à-dire l’autre que l’Un, et c’est cet autre qui, par successions d’engendrements hypostatiques, devient l’Etre, l’Ame et qui donne jusqu’aux réalités sensibles (56). 53 PARMENIDE, Fragments, 8, l. 18-21, in Textes des grands philosophes I : Antiquité, Paris, Beauchesne, 1962, p. 11. physique, VIII, 3, 254 b, 14-16. Le discernement identifie, de son côté, ce qui dans l’entourage de l’être permet d’accomplir la fin, mais ne correspond pas lui-même au principe du mouvement . D’une certaine manière tout le monde est apte mais tout le monde ne réussit pas à être philosophe même si idéalement tout le monde devrait devenir philosophe. * 74 ARISTOTE, La * 34Il s'agit des apories sur « Le type de l’être, ce n’est ni la chose, ni l’idée ; c’est le sujet humain concret, qui n’est pas seulement pensant, mais désirant, aimant, angoissé, soucieux, etc. fondements de la morale, Paris, Tequi, 1989, p. 90. philosophiques, Paris, P.U.F, 1990, p.628. A. Théorie des quatre causes et du Premier Moteur * 172 MOUNIER E., Le Le logos s’entend selon plusieurs sens chez Aristote : il désigne l’apanage de l’être humain2, le fondement de la cité3, le critère qui assure la vertu4, la bonne éducation5 et la loi6, le cadre stable qui permet la démonstration, la science et la « métaphysique ». (70) « De même que le devenir est l’apparence de l’être, de même l’apparence, conçue comme un apparaître, est un devenir de l’être. La même chose, pour pouvoir se donner l'être, doit donc à la fois être et … 22, 1. 54, 1. Tandis que dans le Théétète1 le propre de l'activité du philosophe est de s'étonner, et c'est là son principe et son origine, et que dans le Critias2, Platon écrit que l… * 151 ARISTOTE, Ethique (66)». Métaphysique, È, 1049 b, 14. Fides, 1992, p. 17. La puissance est définie soit comme « le principe du mouvement ou du changement, qui est dans un autre être, ou dans le même être en tant qu’autre » , soit comme, « dans l’être passif, le changement qu’il est susceptible de subir par l’action d’un autre être ou de lui-même en tant qu’autre. Platon, un rapport à la réalité existante puisqu'un intelligible constitue pour lui une réalité. 12, L'argument des apories et la grandeur infinie de L’acte prime la puissance à un triple niveau : selon la notion, l’essence et le temps. DE MURALT, Néoplatonisme et Aristotélisme dans la Métaphysique médiévale, Paris, J. Vrin, 1995, p. 65-67. 71 Ibid., p. 123. PERSPECTIVES cit., p. 58. * 171 LEVINAS E., Ethique * 174 LEVINAS E., Aristote - principes de l'être, livre I Philosophie d'Aristote Paraphrase à la physique. * 133 ARISTOTE, Métaphysique, Ä, 5, 1015 b, 10. S’il a commencé, il n’est pas. cit., p. 227. * 76 ARISTOTE, La Métaphysique, K, 12, 1068 a, 10. » Quant à l’autre principe, c’est-à-dire l’acte, Aristote le définit par des analogies successives, précisant lui-même qu’au lieu de vouloir tout définir, il faut savoir se contenter de l’analogie. 52 Cf. Discours de la méthode, France, Fernand Nathan, 1986, p. 34. ARISTOTELICIENNES DES CONCEPTIONS HERACLITEENNES, PARMENIDIENNES ET * 68 ARISTOTE, * 177 RICOEUR P., Métaphysique, Ä, 30, 1025 a, 14. * 135 ARISTOTE, * 27 Le poème de Métaphysique, Z, 7, 1032 b, 1. 76 Ibid., p. 21. Comme le souligne J. de Finance, Platon admet le non-être à côté de l’être, c’est-à-dire l’autre que l’être (47). physique, I, 2, 185 b, 25. (54)» Dès lors, il peut y avoir devenir sans que l’être ait à se renier, parce que ce qui est en puissance échappe à la nécessité, et la puissance empêche que le devenir se réduise à n’être qu’une série de phénomènes sans lien (55). * 79 ARISTOTE, La 41 E. BREHIER, Histoire de la Philosophie I : Antiquité et Moyen-Age, Paris, Quadrige/PUF, 1983, p. 38. Desclée, 1955, p. 12. Métaphysique, Ä, 10, 1018 a, 25. (73)» L’Etre étant (l’en-soi), il n’y a pas d’intelligible, et la conscience ne représente que le Néant (pour-soi). 60 Cf. Parménide, fragments 4-5, cité par CARATINI R., op. 63 Ibid., p. 79. Métaphysique, È, 3, 1047 a, 14. DE FINANCE. in Revue de Métaphysique et de Morale, janvier-mars 2003, n°1, p. 6. cit., p. 58. Aristote, pour sa part, interroge le monde, les individus qui le composent, et se demande d’où vient leur réalité sensible.

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