* 144 ARISTOTE, Il remplace le couple Acte-Puissance par Etre-Néant, En-soi-Pour-soi. de la philosophie, Paris, P.U.F, 1997, p. 51. cit., p. 6. Mouvement, devenir et être sont donc mêlés. L'existentialisme est un humanisme, Paris, Nagel, 1970, p. 22. II.1.2. « Le type de l’être, ce n’est ni la chose, ni l’idée ; c’est le sujet humain concret, qui n’est pas seulement pensant, mais désirant, aimant, angoissé, soucieux, etc. (57)» L’Un engendre l’être, mais il n’est pas l’être. Métaphysique, ë, 6, 1071 b, 8. 65 Cf. Mouvement naturel et mouvement THONNARD F.-J., op. En suivant ces considérations, nous allons rechercher si les principes de l'être sont seulement au nombre de deux, comme les contraires le sont nécessairement dans chaque genre, ou bien s'il y a dans l'être trois principes au lieu de deux, ou même davantage. INCIDENCES, 2. * 24 ARISTOTE, La L'objet propre de l'intelligence se présente donc, dans la philosophie de Platon, comme un intelligible auquel s'applique le nom d'«oôaca». IDEM, Introduction à la Métaphysique, p. 117-124. * 27 Le poème de Après Aristote, les notions d’acte et de puissance reçurent divers sens, et le devenir a été autrement expliqué. * 93 ARISTOTE, La seconde hypostase peut donc être nommée indifféremment Etre, Monde intelligible, Intelligence. Selon cette ligne d’interprétation, le principe comme fin de chaque action serait fixé par le désir et non par la cognition. 9Impact, le film from Onalukusu Luambo on Vimeo. 10, Caractéristiques de l'ontologie 46, CHAPITRE V : OBSERVATIONS CRITIQUES ET Ce système, ensuite figé par la tradition médiévale, est, chez Aristote, un travail inachevé et vivant. L'un et le multiple : le 22, 1. * 5 DAUJAT J., Y a-t-il une 71 Ibid., p. 123. 24. Ainsi, l’être peut faire l’objet d’une seule et même science. * 152 ARISTOTE, Tout philosophe qui se respecte a son mot à dire sur Métaphysique Γ. Heidegger tout particulièrement voit dans ce passage la première formulation de la question de l’être en tant que tel. (41)» Ce dernier, en présentant l’enseignement des Milésiens, cherchait dans celui-ci la réponse à la question quelle est la matière dont sont faites les choses ? Métaphysique, , 1, 1003 a, 20. Substance et accident : prédication Fils de Nicomaque, médecin d’Amyntas III de Macédoine, il vient suivre les cours de Platonà l’Académie à l’âge de 18 ans (vers 367). Aristote y développe notamment une science de l'être en tant qu'être, une ontologie et une théologie. * 54 ARISTOTE, Le vice du langage est l'homonymie un mot référant à plusieurs choses), car il y a exigence d'unité de la signification. CHAPITRE I : DIFFERENTES APPROCHES D’où l’âme du monde, tournée vers l’Intelligence, est à l’origine d’une nouvelle procession : la réalité sensible, la matière (60). * 77 ARISTOTE, Comme le souligne J. de Finance, Platon admet le non-être à côté de l’être, c’est-à-dire l’autre que l’être (47). ibid. 39, 2. 9 H. Pasqua, L’unité de l’Être parménidien, dans Revue philosophique de Louvain, t. 90, 1992, p. 142- ; 10 Ibidem, p. 143.; 11 Ibidem, p. 145.; 12 Ibidem, p. 147.; 13 Ibidem, p. 148.; 7 C’est dans la perspective que nous découvrons chez Mélissos que Parménide a été compris par les philosophes antiques, Platon et Aristote en particulier. * 139 ARISTOTE, L’acte et la puissance sont donc les deux corrélats présents dans tout devenir. (71) » Dès lors, on peut déduire « qu’il n’est pas indifférent de ramener la scission être et apparence à celle de l’être et du devenir, ou inversement celle-ci à celle-là. 64 THOMAS D’AQUIN, Somme théologique, I, q. 31, III. Parménide, fragment 2, cité par CARATINI R., op. 60 Cf. A mes parents, KOUM TOUNGA Pierre Damien et KOUMAugustine A M. TUWA Jérôme, qui le premier initia mon esprit à l'exercicede la pensée Métaphysique, Z, 1026 a , 10. Théorie des quatre causes et du Premier Moteur Eh bien, et dans la philosophie de Platon, Mimesis, 2010 ISBN 88-8483-995-5 36, CHAPITRE IV : SUBSTANCE ET ACCIDENT, L’intellection du simple est vraie, et l’erreur ne peut affecter que la prédication, parce qu’il y a alors composition. * 174 LEVINAS E., Menacé par le parti anti-macédonien à la mort d’Ale… Voyons à présent ce qu’il en est du devenir chez Aristote. Selon Aristote, le devenir opère le passage de la puissance à l'acte. * 132 ARISTOTE, La L’acte est donc le principe de tout changement, puisque la puissance renvoie à une contingence, ce qui est en puissance pouvant ou ne pas être. (53)». éthiques Idem. Parménide, fragment 8, cité par CARATINI R., op. À la cour du roi de Macédoine, Philippe, il acquiert de nombreuses amitiés. cit., p. Il fonde ensuite le Lycée, également appelé École péripatétique (ou péripatéticienne), à Athènes en 335. L’acte prime la puissance à un triple niveau : selon la notion, l’essence et le temps. I et II, Paris, Gallimard, 1968, p. 25. * 55 ARISTOTE, 42 L. BRISSON, Matière et devenir dans les philosophies anciennes : A quelles conditions peut-on parler de matière dans le Timée de Platon ? cit., p. 58. Le terme '' exister " ou " être" a été sondé selon quatre causes au plus par Aristote. Pour rendre compte du multiple et du devenir, Platon introduit l’hypothèse de la pluralité des Idées (44). 105, a. * 140 DESCARTES R., Sur l'insuffisance de l'analyse du Page suivante : II.2. physique, VI, 4, 234 b, 10. Héraclite, Paris, Aubier, 1977, p. 114. LALANDE A., Vocabulaire technique et critique de la * 58 ARISTOTE, C’est chez Aristote que la question du devenir trouve une explication convenable (40). DE MURALT, op. 72 Ibid. * 97 ARISTOTE, Mais la pensée dialectique n'a que les Formes pour objets. 24, 1. * 167 KANT E., Fondements Franz Brentano, Sur les significations multiples de l'être selon Aristote, Vita e Pensiero, Milano 1995 (édition originale 1862) Colafati Noël, Introduction à la philosophie, Rubettino, 2008 ISBN 88-498-2258-8; Salvatore Lavecchia, En plus de l'un et le multiple. 55 Cf. (66)». 76 Ibid., p. 21. 48 ARISTOTE, op. * 83 ARISTOTE, * 151 ARISTOTE, Ethique (76)» Après ce parcours du devenir, voyons à présent comment J. de Finance l’explique à son tour. cit., p. 225. Cette analyse permet de lever l’argument de Parménide qui essaie de montrer l’impossibilité du devenir : le changement ne peut venir de l’être (car il est déjà) ni du non-être (car rien ne naît de rien). (54)» Dès lors, il peut y avoir devenir sans que l’être ait à se renier, parce que ce qui est en puissance échappe à la nécessité, et la puissance empêche que le devenir se réduise à n’être qu’une série de phénomènes sans lien (55). 224. l'être 26, CHAPITRE III : LE MOUVEMENT ET SES (63)». 59 P.-B. * 4 LALANDE A., Vocabulaire Plus encore, il y a une suppression de la puissance. l'être sous la modalité de l'acte et de la puissance Tant en physique, métaphysique, ou logique, qu'en morale et en politique, il r [] Lire la suite * 70 ARISTOTE, La L'être et le devenir. Métaphysique, , 8, 1012 b, 23. DE FINANCE, op. * 168 GIRE P., Les cit., p. 221. * 156 PINDARE, cité par Le discernement identifie, de son côté, ce qui dans l’entourage de l’être permet d’accomplir la fin, mais ne correspond pas lui-même au principe du mouvement . Anne Merker * 30 Le poème de philosophie, Paris, Quadrige/P.U.F, 1997, (volume 1). physique, I, 2, 185 b, 25. 43, III. Finalement, dans les philosophies contemporaines, avec l’existentialisme et le phénoménisme notamment, l’ontologie tourne à l’anthropologie. Totalité et Infini, Paris, Livre de poche, 1971, p. 234. * 23 HERACLITE cité par » Quant à l’autre principe, c’est-à-dire l’acte, Aristote le définit par des analogies successives, précisant lui-même qu’au lieu de vouloir tout définir, il faut savoir se contenter de l’analogie. 74 Cf. * 39 ARISTOTE, La * 68 ARISTOTE, Métaphysique, Ä, 7, 1017 b, 1. cit., p. 229. de la métaphysique des moeurs, Paris, Bordas, 1988, p. 10. 50 Ibid., IX, 6, 1048a, 31 – b, 10. C’est pourquoi chez Sartre, il n’y a aucun avenir ni univers spirituel possible à espérer, seul le moment où l’homme existe compte, le temps qu’il lui est donné de vivre, c’est là le seul sens de son existence (75). Métaphysique, Ä, 7, 1017 a, 6. de la méthode suivi des méditations, Paris, Union ACTE ET PUISSANCE, ET LEURS IMPLICATIONS DANS LE DEVENIR cit., p. 58. 53 PARMENIDE, Fragments, 8, l. 18-21, in Textes des grands philosophes I : Antiquité, Paris, Beauchesne, 1962, p. 11. 5. * 10 AUBENQUE P., Le in Revue de Métaphysique et de Morale, janvier-mars 2003, n°1, p. 6. Introduction à la philosophie, Paris, Plon, 1981. p. 10. cit., p. 59. et Infini, Paris, Fayard, 1982, p. 86, cité par GIRE P., Pour lui le pouvoir repose sur le savoir. Encyclopédie philosophique universelle, Les notions Pensée moderne et philosophie chrétienne, p. 34, puissance * 79 ARISTOTE, La Métaphysique, È, 1049 b, 14. * 127 ARISTOTE, La l'univers, fragment 43, cité par CARATINI R., La (72)». On pense que le bonheur et tout ce qu’on recherche de la vie se trouvent à l’extérieur. * 176 Aristote, Métaphysique, Z, 7, 1032 b, 1. * 166 NIETZSCHE F., Ainsi * 46 ARISTOTE, 4, La voie de la vérité et la voie ARISTOTELICIENNES DES CONCEPTIONS HERACLITEENNES, PARMENIDIENNES ET Aristote - principes de l'être, livre I Philosophie d'Aristote Paraphrase à la physique. Le problème de l’être et la question ontologique. Nous pouvons retenir de Platon et d’Aristote que la condition du devenir est composite : l’être est à deux plans, celui de la permanence (ce qui est, la forme ou l’essence) et celui de la transition perpétuelle (de ce qui était à ce qui sera, du changement dans le temps, la matière ou le substrat.) cit., p. 47. personnalisme, Paris, P.U.F, 1949, p. 37. D’une certaine manière tout le monde est apte mais tout le monde ne réussit pas à être philosophe même si idéalement tout le monde devrait devenir philosophe. Desclée, 1955, p. 12. Métaphysique, Z, 4, 1029 b, 12. * 95 KIERKEGAARD S., Les Si les théories pluralistes et unitaires échouent, c’est parce que les premières ne voient que le multiple, les secondes ne considèrent que l’Un-un (43). physique, VIII, 3, 254 b, 14-16. * 12 HERACLITE, De parlait Zarathoustra, Paris, Flammarion, 1996, p. 345. La même chose, pour pouvoir se donner l'être, doit donc à la fois être et … Le devenir, la vie et la mort. * 31 DESCARTES R., Discours Métaphysique, È, 8, 1050 b, 12. Mais déjà, chez Platon, l’opposition traditionnelle entre le mobilisme universel et l’immutabilité, entre l’être et le mouvement, est expliquée à travers l’opposition entre le monde sensible et le monde réel. philosophiques, Paris, P.U.F, 1990, p.628. Métaphysique, Z, 7, 1032 a, 13. * 35 ARISTOTE., « L’absence d’uniformité constitue donc la cause du changement auquel est soumis le monde sensible… (46)». L'être en acte et l'être en Ainsi, le point de vue de Descartes est, pour Aristote, le point de vue de Dieu ! Métaphysique, È, 3, 1047 a, 14. La réalité fondamentale est le devenir ; en lui s'identifient l'être et le non-être, car ce qui devient d'une certaine manière ibid., p. 219. Mais comme pour l'être humain socialiste, toute la dénommée histoire universelle n'est rien d'autre que l'engendrement de l'être humain par le travail humain, que le devenir de la nature pour l'être humain ; il a donc la preuve visible et irréfutable de sa naissance par lui-même, du processus de formation. * 8 CHÂTELET F., La Clé, 1983, p. 26. PERSPECTIVES DE FINANCE, op. Aristote distingue deux types d’étants : les étants naturels, et les étants produits par l’homme (technê). * 105 ARISTOTE, ibid., 1049b, 35 – 1050a. DE FINANCE, op. Le logos doit rendre manifeste l ’ être. J. PLATON, La République, VI, 507a – c. Métaphysique, È, 3, 1046 b, 30. DE MURALT, Néoplatonisme et Aristotélisme dans la Métaphysique médiévale, Paris, J. Vrin, 1995, p. 65-67. Chez Aristote, on trouve deux principes du mouvement, à savoir, l’acte et la puissance. J.-C., Paris, Hachette, 1999, p. 162. Métaphysique, Ä, 30, 1025 a, 14. 41, II. * 141 ARISTOTE, 67 M. HEIDEGGER, Etre et Temps, t. 2, traduit de l’Allemand par F. VEZIN, Paris, Gallimard, 1986, p. 31. cit., p. 136-138. Ainsi, le devenir ne sort pas des Idées, mais de l’être. Devenir de cit., p. 57. Ainsi, dans le domaine de la philosophie première qu'Aristote définit comme la science de l'Être en tant qu'Être, l'Être peut se dire selon la substance (Socrate 1 63 Ibid., p. 79. physique, I, 7, 190 a, 1-10. C'est à partir de l'œuvre de Platon que la pensée d'Aristote peut être comprise. Critique de la théorie de la Le livre Γ de la Métaphysique est un des passages les plus discutés de l’histoire de la philosophie. L'ontologie, qui est discours sur l'être, étudie donc aussi la distance entre le mot et l'être. * 135 ARISTOTE, 43 Cf. physique, II, 8, 199 a , 15. Parménide, fragments 4-5, cité par CARATINI R., op. Chez Thomas d’Aquin, la composition entre puissance et acte est évoquée pour rendre compte du devenir et de la multiplicité. GRENET, Histoire de la Philosophie ancienne, Paris, Beauchesne, 1960, p. 310. * 175 FOKAM P.-K., Et si * 74 ARISTOTE, La Métaphysique, A, 9, 991 a , 11. Et en tant que tel, l’acte joue donc, par rapport à la puissance, le rôle de cause finale, car c’est en vue de lui que la puissance est envisagée. * 177 RICOEUR P., Discours de la méthode, France, Fernand Nathan, 1986, p. 34. philosophie païenne du VI e siècle av. Aristote dit en effet que « ce n’est pas pour avoir la vue que les animaux voient, mais c’est pour voir qu’ils ont la vue. * 160 ARISTOTE, technique et critique de la philosophie, Paris, Quadrige / P.U.F, 1997, p. problème de la prédication physique, II, 3, 194 b. Un article de la revue Laval théologique et philosophique (Volume 64, numéro 2, 2008, p. 233-575) diffusée par la plateforme Érudit. * 80 ARISTOTE, physique, I, 190 b, 33. IDEM, Les problèmes fondamentaux de la Phénoménologie, traduit de l’Allemand par J.-F. COURTINE, Paris, Gallimard, 1985, p. 155. 13, 2. J.-P. SARTRE, L’existentialisme est un humanisme, Paris, Nagel, 1970, p. 93. physique, I, 8, 191 b, 10. Soi-même comme un autre, Paris, Seuil, 1996, p. 13. Métaphysique, ë, 7, 1072 b, 24. 54 J. Platon rejette l’immobilité absolue de l’être, en insérant le mouvement au sein même de celui-ci. 52 Cf. Voyons à présent ce qu’il en est du devenir chez Aristote. * 15 HERACLITE, De (67)» Celui qui questionne, c’est le Dasein, cet étant que nous sommes nous-mêmes à chaque fois (68). ». Selon la notion, dans la mesure où la notion et la connaissance de l’acte sont antérieures à la connaissance de la puissance. De même s’il doit commencer un jour. 12, L'argument des apories et la grandeur infinie de philosophie, France, Seghers, 1984, p. 51. A. PANERO, Introduction aux Ennéades : L’Ontologie subversive de Plotin, Paris, L’Harmattan, 2005, p. 26. * 133 ARISTOTE, 39, 1. 68 Cf. cit., p. 227. Platon, un rapport à la réalité existante puisqu'un intelligible constitue pour lui une réalité. Or, nous ne pouvons devenir ce que nous sommes déjà, donc suivant une certaine logique, nous devenons le non être. 18, CHAPITRE II : REFUTATIONS Considérations actuelles sur l'Afrique, Yaoundé, Précis d'histoire de la philosophie, Paris, Tournai, Rome, Métaphysique, È, 5, 1048 a, 16. Métaphysique, ë, 2, 1069 b, 15. Et donc l'être et le non-être ne sont que des abstractions artificielles, des mots nécessaires au discours, pour exprimer la superficie des choses. Cette question est une préoccupation propre à Aristote, car « c’est Aristote qui la pose et il la pose dans le langage de sa propre doctrine. * 159 VANCOURT R., * 11 THONNARD F.-J., cit., p. 446. Métaphysique, Z, 1032 a, 7, 13. 40 Cf. Plotin situe le devenir dans l’émanation des hypostases qui suivent l’Un. Chez Sartre par exemple, « tout est en acte. physique, III, 2001 b, 34. changement substantiel 51. Parménide, fragment 1, cité par CARATINI R., op. fondements de la morale, Paris, Tequi, 1989, p. 90. cit., p. 151. Mon rapport à l ’ être est prédéterminé par l ’ apophansif selon Aristote.c ’ est la condition de possibilité de la manifestation de l ’ être, il est possible de comparer le vrai et le faux de ce que l ’ être fait voir et ce qu ’ il est. Histoire de la Philosophie, Paris, Gallimard, 1969, p. 419. Le devenir chez Aristote Fides, 1992, p. 17. pruntée à Aristote, par laquelle on désigne couramment l'objet de la métaphysique: « l'être en tant qu'être ». * 52 ARISTOTE, La physique, III, 2, 201 b, 32. 56 Cf. vérité ?, Paris, TEQUI, 1974, p. 59. * 34Il s'agit des apories sur Il engendre donc ce qu’il n’est pas : « c’est parce qu’il n’est pas un être qu’il peut faire advenir l’être. 66 J. Du non-être à * 43 Le poème de physique, III, 6, 206 a, 30. J.-C. au III D’où « l’existence précède l’essence. A. AUBENQUE P., op. Métaphysique, È, 8, 1050 b, 18. Qu’en est-il maintenant de la postérité d’Aristote ? physique, II, 1, 192 b, 21. Dans la mesure où seul, pour Aristote, le mouvement circulaire est continu et éternel, tous les autres mouvements du monde sublunaire tombent sous un mode secondaire, subsidiaire de l'être, ne possédant pas de raison d'être ou de fin et ne prenant leur sens qu'à l'intérieur des «frontières du changement».

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